Après une chirurgie bariatrique, il est recommandé de recourir à un spécialiste pour un suivi psychologique. Cette étape vous permettra de faire face à tous vos soucis neurologiques. Vous aurez l’occasion de mieux aborder votre nouvelle vie. Vous pouvez mieux affronter vos habitudes alimentaires et sportives. Cette consultation vous permettra d’éviter de replonger dans l’obésité.
Le corps médical donne une importance particulière à la chirurgie bariatrique et suivi psychologique. Il est nécessaire de s’engager dans un suivi à long terme pour le bien-être du patient. Il ne faut pas seulement se limiter à un suivi nutritionnel. Il est aussi crucial de mettre en évidence un suivi psychologique. Comme l’obésité est une maladie chronique, il faut offrir un accompagnement sur-mesure aux patients. Les interventions chirurgicales tardives peuvent avoir pour conséquence des atteintes neurologiques assez graves. L’absence de suivi psychologique peut entraîner des perturbations dans la vie quotidienne d’un individu. Il ne faut pas se laisser figer par des résultats immédiats. Certaines institutions médicales offrent des suivis gratuits avant et après une opération. L’essentiel est de pouvoir reprendre sa vie en main après une intervention chirurgicale.
La chirurgie bariatrique et suivi psychologique sont étroitement liés pour plusieurs raisons. Les conséquences psychologiques de l’obésité sont nombreuses et peuvent varier en fonction des individus. Vous pouvez faire face à une perte de confiance en soi ou à une insatisfaction corporelle. Le suivi psychologique pourra vous aider à déterminer la motivation et les ressources des patients. Vous aurez la possibilité de renforcer votre motivation par rapport à certaines activités. Vous n’aurez pas de souci à faire face à votre trajectoire de soin. Il vous sera plus simple d’aborder les changements au niveau de l’alimentation et au niveau de certaines habitudes.
Vous devez savoir que la chirurgie bariatrique et suivi psychologique ont des relations sur le long terme. Le psychologue pourra vous aider à définir les causes de votre obésité. Vous éviterez ainsi de replonger dans ce même problème. Il peut s’agir des facteurs environnementaux et des différents parcours à suivre. Après votre intervention chirurgicale, vous bénéficierez d’un suivi sur le long terme. Votre premier rendez-vous sera fixé le 2ème mois. Le but est de pouvoir combler les carences et éviter la possibilité de rechute dans l’obésité. Le médecin réalisera un diagnostic pour analyser la présence des complications.
Se débarrasser des kilos en trop n’est pas toujours simple et les personnes en surpoids le savent très bien. Mais une solution temporaire à l’obésité existe. Il s’agit du ballon gastrique, un dispositif permettant de perdre modérément du poids et de modifier les habitudes alimentaires.
Le premier ballon gastrique, gonflé avec 200 ml d’eau ou d’air, est apparu en 1982 afin d’aider les personnes en surpoids à s’amaigrir. Mais dès 1987, la technique fut progressivement abandonnée en raison de plusieurs complications constatées ; notamment l’apparition d’ulcères et d’érosions gastriques. Aujourd’hui, le dispositif a fait l’objet d’une amélioration et est recommandé pour traiter l’obésité. Il est fait en silicone ou en polyuréthane, et contient entre 500 et 700 ml de sérum physiologique. Notons que pour la chirurgie bariatrique ballon gastrique, l’opération se fait sous anesthésie générale ou sous sédation et le ballon n’est gonflé, sous contrôle endoscopique, qu’une fois à l’intérieur. Ce nouveau ballon reste dans l’estomac durant six mois quand celui des années 80 se dégonflait au bout de 2 semaines seulement. Toutefois, il doit impérativement être retiré avant les six mois pour prévenir les fuites et une éventuelle migration intestinale.
Le ballon gastrique n’est adapté que chez certaines personnes. En effet, d’après les experts, ce dispositif est plus indiqué chez un patient ayant un indice de masse corporelle situé entre 30 et 40 kg/m — maximum. De préférence, ces personnes devraient avoir au moins essayé une autre méthode d’amaigrissement médicalisé. Pour les personnes qui souffrent de surpoids à un stade très avancé, la chirurgie esthétique s’avère plus efficace. Ceci dit, la chirurgie bariatrique ballon gastrique permet de préparer une intervention chirurgicale. Il faut bien s’informer chez le médecin sur les contre-indications de ce traitement, car il y en a beaucoup.
Avec un ballon gastrique, la perte de poids est assez modérée. Les chirurgiens s’accordent à dire que la perte de poids est variable, entre 10 kg à 15 kg. Ceci dit, ce n’est pas le nombre de kilos perdus qui est important, c’est le changement des habitudes alimentaires du patient. L’objectif est de parvenir à maintenir son poids. De plus, une étude a montré que certains patients ayant eu recours à une chirurgie bariatrique ballon gastrique continuent à perdre du poids après le retrait du ballon de l’estomac quand le traitement a fonctionné. Enfin, il est tout de même important de préciser que la pose d’un ballon gastrique n’est pas prise en charge par l’assurance-maladie.
Dans de nombreux pays en Europe, la pratique de l’opération chirurgicale comme le bypass gastrique prend de l’ampleur depuis quelques années. L’intervention vise essentiellement à prévenir l’obésité sur le long terme. Très ancienne et fortement prisée, cette opération permet aux patients de diminuer leur excès de poids. À l’heure actuelle, les praticiens qui proposent d’effectuer ce genre de chirurgie sont nombreux. Mais en quoi consiste réellement une chirurgie bariatrique bypass ?
Le bypass ou le court-circuit gastrique représente un montage en court-circuit de l’appareil digestif. Il est en général pratiqué en chirurgie bariatrique. Le praticien sectionne la partie supérieure de l’estomac à l’aide d’un agrafage. Le but de la chirurgie bariatrique bypass est en effet la création d’une petite poche. Après l’antre pylorique, une anse de l’intestin grêle est ensuite sectionnée et est raccordée avec la poche.
Le court-circuit gastrique constitue un système restrictif. Il faut réduire un anneau gastrique de l’estomac du patient. La partie restante de cet appareil ne pourrait être plus utilisée. Le circuit alimentaire exclut dans ce sens la totalité du duodénum et une petite partie de l’intestin grêle. De cette manière, le système digestif absorbe une quantité d’aliments très limitée.
Le déroulement de la chirurgie bariatrique bypass se fait sous anesthésie générale et peut durer 60 minutes en moyenne. C’est avec de petites incisions cutanées que le praticien effectue le geste chirurgical. Le bypass gastrique tend à diminuer le volume de l’estomac et de changer le circuit digestif.
L’estomac sera divisé en deux parties. Le chirurgien attache une poche gastrique à l’intestin afin de contourner l’estomac. Les patients autorisés à pratiquer cette opération sont admis au sein de l’établissement hospitalier la veille de la chirurgie. Ils peuvent marcher et boire le soir après l’intervention. Ils peuvent avaler des aliments liquides le lendemain et peuvent sortir de l’hôpital le jour suivant s’il n’y a pas de complications. Bien évidemment, l’hospitalisation varie selon l’état du patient et l’établissement hospitalier. Elle varie entre 2 à 8 jours.
Il existe des conditions de remboursements et quelques critères médicaux à tenir en compte pour pouvoir accéder à la chirurgie bariatrique bypass. Si vous souhaitez que l’organisme dédié vous rembourse, vous devez remplir un certain nombre de conditions : âge minimum, porteur d’un IMC supérieur à un certain seuil, réunir quelques dossiers indispensables, etc.
La chirurgie bariatrique sleeve est une méthode chirurgicale qui vous aide à combattre l’obésité de manière efficace. Pratiquée chez l’adulte, cette technique vise à réduire l’estomac pour provoquer aisément une impression de satiété. Si les autres diètes et techniques que vous aviez utilisées ont échoué, celle-ci pourrait bien marquer la réussite de votre projet minceur.
La sleeve gastrique est une opération qui vous permet enfin de venir à bout des problèmes de kilos en trop. La chirurgie bariatrique sleeve est une chirurgie qui est préconisée aux sujets souffrant d’obésité massive et d’obésité morbide. Le but de cette opération est de retirer une bonne partie de l’estomac pour que celui-ci se réduise à un petit tube. La première pratique a eu lieu en 2001. Les patients qui sont passés par là ont perdu beaucoup de poids étant donné que la sensation de satiété arrive toujours rapidement. Certes, le taux de ghréline à l’origine de la sensation de faim se voit baisser de manière considérable après cette opération.
La chirurgie bariatrique sleeve s’adresse surtout aux adultes qui ont une surcharge pondérale notable. Ce sont des personnes qui sont en proie à une obésité trop importante. Leur indice de masse corporelle ou IMC est égal à 40kg/m2 si ce n’est plus. L’obésité sévère pour sa part est associée à un IMC avoisinant les 35kg/m2. Ces patients ne recourent pas toujours à cette pratique chirurgicale pour le plaisir. En effet, c’est parce que l’obésité s’accompagne parfois de problèmes tels qu’une hypertension artérielle ou encore un diabète de type 2.
La chirurgie bariatrique sleeve est une technique qui est destinée à certaines catégories de personnes. Ainsi qu’il a été précisé, cela concerne surtout les personnes qui ont un IMC supérieur ou égal à 35kg/m2. La sleeve gastrique est aussi réservée aux individus qui ont un souci de santé du fait de l’obésité. Cette opération est réservée aux personnes âgées de 18 à 60 ans. Ainsi, elle n’est pas conseillée aux mineurs. Les seniors âgés de plus de 60 ans sont conviés à demander l’avis d’un professionnel de santé avant de s’adonner à ce genre d’opération.
Il est également à noter que le sleeve n’est possible que chez les sujets qui n’ont aucune contre-indication psychologique. C’est une opération qui n’est réalisable que sur des personnes qui ne présentent aucun risque opératoire. Cette technique est un dernier recours. Aussi, si le rééquilibrage alimentaire et le sport sont efficients, il n’y a pas lieu de s’adonner à cette opération chirurgicale.
La chirurgie du cancer du rectum consiste à pratiquer une résection rectale, également appelée proctectomie, en rapport avec la résection méso rectale. Ce tissu graisseux qui entoure le rectum et contient des vaisseaux sanguins et des centres lymphatiques peut en outre être attaqué par la tumeur. L’expulsion du mésorectum diminue le risque de récidive locale. Il existe plusieurs types de chirurgie pour le cancer du rectum.
Lors d’un APR, le cancer rectal complet, qui touche le rectum ordinaire, le sphincter rectal ou la fesse et qui englobe les ganglions lymphatiques, est enlevé par une coupe dans la partie inférieure du ventre et du périnée (la peau autour de l’anus). Après l’expulsion du cancer, l’incision dans le périnée est cousue. L’extrémité de la coupure du système digestif expansif est reliée à une ouverture dans la paroi abdominale, appelée colostomie. Cette ouverture est fermée par un sac, qui sert à recueillir les selles, car elles passent par l’énorme système digestif et par la colostomie. Pour différencier un LAR, la colostomie est durable. De nombreux patients souhaitent garder une distance stratégique par rapport à une colostomie durable. Lorsque le cancer du rectum se situe près du sphincter ou de la fesse, un RAL est généralement suggéré. Dans quelques cas, une chirurgie du cancer du rectum plus limitée peut être utilisée pour maintenir une distance stratégique par rapport à une colostomie, ou un traitement par radiation peut être utilisé pour faire reculer le cancer du rectum avant la chirurgie, ce qui permet de comprendre comment préserver le contrôle de la fonction intestinale.
Le LAR pourrait être un traitement courant du cancer du rectum lorsque le cancer se trouve bien au-dessus de la fesse. Au milieu d’un LAR, le cancer du rectum entier, adjacent au tissu rectal typique et englobant les centres lymphatiques, est évacué par une coupe pratiquée dans la partie inférieure du ventre. Une fois le cancer évacué, les fermetures de la coupe du rectum sont recousues. La partie des selles provenant du tube digestif expansif et passant par la fesse est ainsi protégée. Si le cancer se trouve plus bas dans le rectum, la conclusion de la coupe de l’intestin expansif peut être reliée directement à la fesse, une méthode connue sous le nom d’anastomose colo anale. Lors d’une anastomose colo anale, quelques spécialistes pratiquent une colostomie transitoire afin de garantir l’association chirurgicale sensible de l’énorme appareil digestif à la fesse. Une fois le calme revenu après la chirurgie du cancer du rectum, la brève colostomie est évacuée et les selles sont à nouveau acheminées normalement à travers l’énorme tube digestif. Le côlon est recousu à la fesse.
Une chirurgie limitée peut être pratiquée pour évacuer le cancer et protéger la fesse et éviter les complications qui se produiront avec des chirurgies plus larges de LAR ou d’APR. La chirurgie sous contrainte est prévue pour évacuer le cancer et un peu de bord de l’intestin ordinaire, mais pas la fesse. La chirurgie du cancer du rectum peut être effectuée par la fesse (extraction transanale) ou par le coccyx (trans coccygien) ou le coccyx. Une extraction transanale peut être effectuée pour les petits cancers qui se situent près de l’anus (régulièrement à l’intérieur de 2 pouces). D’autres petits cancers plus élevés dans le rectum peuvent être évacués par une excision trans coccygienne.
Le cancer du côlon agit silencieusement. On a des difficultés à détecter les signes avant-coureurs. C’est la raison pour laquelle il est primordial de prêter attention à certains symptômes. Pourtant, cette maladie est évitable si on le dépiste précocement.
Certains facteurs sont à l’origine du cancer du côlon. À partir de la cinquantaine, les risques du développement de ce cancer augmentent. La consommation d’alcool, une alimentation riche en viande rouge, en graisse, en sucre, le surpoids et la sédentarité sont les facteurs à risques. Lorsque des polypes de l’adénome se situent sur la paroi du rectum et du côlon, les risques de cancer augmentent. Ces risques sont élevés si un parent a déjà eu des symptômes cancer du colon auparavant. Le syndrome de Lynch est un autre facteur qui déclenche cette maladie. Il peut déboucher sur le cancer du côlon. On estime que la rectocolite hémorragique et la maladie de Crohn peuvent accroître les risques de développement de ce cancer.
Le cancer du côlon se manifeste par plusieurs symptômes. Le plus souvent, on a tendance à négliger les crampes abdominales ou les crampes d’estomac. Elles constituent des signes précurseurs de nombreuses maladies. Cependant, si les crampes deviennent plus fréquentes, elles pourraient être des symptômes cancer du colon. Une fatigue inhabituelle survient car l’énergie dans l’organisme est consommée par les cellules cancéreuses. Si vous n’avez pas changé vos habitudes alimentaires quotidiennes, pourtant, vous perdez rapidement du poids, consultez immédiatement votre médecin. Dans la plupart des cas du cancer colorectal, le malade connaît des fréquences irrégulières de selles ou des constipations fréquentes. Lorsque des ballonnements et des gaz accompagnent les symptômes précités, il est fort probable qu’il y a une tumeur dans la partie du côlon. Si ces symptômes se manifestent, il est recommandé de faire des examens complémentaires.
Les traitements du cancer du côlon varient suivant chaque cas. Après avoir détecté les symptômes cancer du colon, la principale stratégie est de traiter cette maladie par la chirurgie. On utilise parfois d’autres approches, seules ou associées avec la chirurgie. Au début de la maladie, les tumeurs sont encore superficielles. On peut les retirer avec une simple coloscopie. Étant profondes, on procédera à l’hémicolectomie qui consiste à enlever une portion du côlon présentant une lésion. Au cours de l’intervention, le praticien enlèvera également les ganglions lymphatiques et les vaisseaux proches de cette tumeur. Ils sont susceptibles de porter des cellules cancéreuses qui pourraient développer de métastases. L’hémicolectomie est pratiqué en ouvrant le ventre. On y introduit des instruments miniaturisés par l’intermédiaire de petites incisions. Cette méthode permet de réduire la convalescence du malade.
Le cancer du pancréas figure parmi les cancers les plus agressifs et les plus mortels jamais connu. Même si la proportion des cas recensés n’est que de l’ordre de 3 % en France, on remarque une hausse inquiétante du nombre de personnes touchées depuis près de trente ans. Par rapport aux années 80 par exemple, la statistique des hommes atteints de ce cancer a doublé si elle a quasiment triplé pour les femmes. Face à cette situation, il est nécessaire de prendre toutes les précautions nécessaires et connaître la réalité sur ce cancer tant redouté.
Comme pour la plupart des cancers, le cancer de pancréas est un phénomène biologique assez complexe. Ce qui rend difficile la détection des causes exactes. On doit plutôt se focaliser sur les facteurs de risque. C’est la meilleure façon de diminuer la probabilité de survenance d’une pathologie. Parmi les facteurs les plus connus, on peut citer l’âge, l’hérédité, la génétique, l’obésité, le diabète, la consommation excessive et chronique d’alcool ou encore le tabagisme. Par ailleurs, les hommes ainsi que les groupes sanguins A, AB et B ont un risque plus important d’attraper le cancer. Bien entendu, les autres personnes peuvent être toujours exposées au cancer même si elles ne présentent aucun de ces facteurs.
Selon les études, les personnes de plus de 40 ans sont les plus concernées par le cancer de pancréas. A partir de 50 ans, les risques sont encore plus importants surtout si la personne est en situation d’obésité ou si elle a une addiction au tabac et à l’alcool.
Le problème, c’est que les symptômes n’apparaissent qu’assez tardivement. Ainsi, les tumeurs ne sont constatées qu’à un stade avancé. Ce qui rend difficile le traitement. De plus, les signes annonciateurs du cancer peuvent varier selon l’emplacement de la tumeur dans le pancréas. Elle peut être localisée à la tête, sur le corps ou au niveau de la queue. Parmi les symptômes les plus connus, on peut citer la nausée, l’indigestion, la perte d’appétit, la perte de poids, la fatigue ou encore les douleurs dans le dos ou à l’abdomen.
Ce retard de dépistage s’explique par la situation anatomique très délicate du pancréas. En effet, il est logé très loin dans l’abdomen et à proximité de l’intestin ainsi que du foie. On y trouve également de nombreux vaisseaux sanguins. Ce qui complique les interventions.
Comme il s’agit pour la plupart des cas d’une tumeur maline, les chances de survie sont plutôt minces. La durée de vie ne dépasse pas généralement 6 mois après diagnostic. Seulement 5 % des cas recensés ont pu survivre jusqu’à 5 ans. Quant à la rémission, c’est extrêmement rare. Comme l’opération est très délicate, seuls 15 % des malades peuvent en bénéficier. Après une opération chirurgicale suivie de chimiothérapie, l’espérance de vie peut augmenter de l’ordre de 20 ou 25 %.
Le cancer de l’estomac se développe généralement par les cellules glandulaires qui se trouvent sur la paroi de l’estomac. En effet, cette maladie grave se manifeste par des signes courants à savoir les vomissements, les nausées voire même les douleurs gastriques. A titre informatif, de nombreuses facteurs ont été identifiées responsables du cancer de l’estomac notamment l’alcoolisme, le tabagisme, l’infection due à la bactérie Helicobacter pylori et bien d’autres. Mais quels sont exactement les symptômes cancer de l’estomac ?
On peut recenser plusieurs symptômes montrant que le patient est atteint du cancer de l’estomac. Parmi eux, on notera une douleur épigastrique qui se pointe en haut de l’estomac et au milieu, des remontées acides surtout si la personne est âgée de plus de 45 ans. Une anémie fait également partie des signaux d’alerte. A part cela, l’apparition des selles noires avec des odeurs désagréables signifie que le patient souffre d’un cancer de l’estomac. Enfin, il se peut qu’une perte d’appétit accompagnée d’une grande fatigue et d’une perte de poids puisse survenir. Dans certains cas, le cancer de l’estomac peut être identifié lors d’un bilan d’anémie. Par ailleurs, il n’est pas rare de faire face à d’autres symptômes cancer de l’estomac comme le dégoût des viandes et le foie qui augmente de volume.
Toute personne ayant des symptômes cancer de l’estomac doit prévoir un diagnostic à partir d’un examen endoscopique. Il s’agit en effet de la gastroscopie. De prime abord, un prélèvement sanguin doit être réalisé afin de découvrir la présence d’une anémie à partir des saignements chroniques. Ensuite, il est indéniable de faire une gastroscopie pour constater l’étendue de la maladie mais également pour faciliter la pratique d’une biopsie qui prend en charge de la détermination du type du cancer. Enfin, le patient doit effectuer une échographie et un scanner de l’abdomen afin de compléter effectivement tout le diagnostic. Grâce au scanner, il est fort possible d’identifier la présence des adénopathies. Mieux encore, à partir de l’échographie, il vous est possible de voir si les métastases ont atteint les organes à proximité.
La prise en charge du cancer de l’estomac varie selon plusieurs facteurs. A savoir la localisation tumorale ainsi que l’état du patient, le type de cancer et son stade. Dans tous les cas, la chirurgie reste la solution la plus sollicitée pour traiter un cancer. Ce traitement consiste en effet à effectuer une gastrectomie totale ou encore partielle dans le but d’enlever la tumeur. A noter que l’opération doit être accompagnée de nombreuses séances de chimiothérapie ou de radiothérapie.
La chirurgie des hémorroïdes peut avoir des effets négatifs et positifs après l’opération. La situation peut évoluer en fonction des traitements et de l’état du patient. Les opérations peuvent entraîner des conséquences et des complications. Les traitements prescrits doivent être suivis à la lettre pour assurer l’obtention des résultats escomptés et pour éviter les désagréments. Il faut savoir que les complications peuvent prolonger le traitement.
Vous devez savoir qu’il existe plusieurs méthodes pour opérer les hémorroïdes. La chirurgie est une solution à ne pas écarter. Les suites opératoires peuvent changer en fonction des techniques employées lors de la chirurgie des hémorroïdes. Si vous faites face à une hémorroïde classique, vous pouvez ressentir des douleurs après une opération. Ce type d’opération est connu pour les douleurs causées. Toutefois, vous devez suivre un traitement anti-inflammatoire pour pouvoir contrôler cette douleur. Le médecin vous donnera un traitement pour prévenir la constipation. Après ce type d’intervention, il sera indispensable de prendre des laxatifs. Cette prescription restera obligatoire. Il est important de savoir que les soins post-opératoires sont simples. Le lavage des plaies doit se faire de manière régulière.
Suite à une chirurgie des hémorroïdes, vous devez vous préparer à une cicatrisation longue. Les complications peuvent exister en fonction de la situation. Dans certains cas, vous risquerez un rétrécissement anal. Si vous avez fait face à une intervention de longo, vous n’aurez pas à supporter les mêmes douleurs qu’une opération classique. Pour arrêter le saignement, il peut être nécessaire de passer par un point de suture. Vous pouvez avoir une sténose au niveau de la ligne d’agrafes. Cette dernière est dilatable. Dans certaines situations, il est possible de voir des infections graves.
Les suites opératoires de la chirurgie des hémorroïdes peuvent varier et changer en fonction de la situation. Les désagréments d’une opération peuvent entraîner des complications dans certains cas. Toutes les prescriptions préventives seront à votre disposition pour minimiser au maximum votre douleur. Votre médecin réalisera des diagnostics pour comprendre l’évolution de votre situation. Lors de vos pansements, il est tout à fait possible de trouver du sang. L’évacuation des selles peut se faire par le biais d’un lubrifiant. Vous devez vous soigner à partir d’un suppositoire cicatrisant tous les jours. Les plaies diminueront avec le traitement post-opératoire.
La maladie de Crohn est l’un des 2 principaux types de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MII) avec la colite ulcéreuse. En raison de sa faible prévalence, elle est observée comme rare, avec 140 cas seulement pour 100 000 habitants en France. Il faut savoir que cette maladie est notamment présente dans les régions industrialisées.
On sait peu de choses sur l’origine de la maladie de Crohn. On pense que l’apparition des premiers symptômes est le résultat de facteurs environnementaux et génétiques. Cependant, il est bien connu que l’inflammation du tube digestif est reliée à une hyperactivité de la défense immunitaire. De nombreux irritants (tels que des bactéries ou des virus) peuvent être à l’origine d’une réponse anormale du système immunitaire. Effectivement, de nombreux microorganismes non pathogènes présents dans l’intestin sont, dans ce cas particulier, considérés comme des menaces potentielles et induisent des réponses immunitaires. On sait également que certains facteurs, tels que le stress et le tabagisme sont des facteurs environnementaux propices à l’apparition de la maladie.
Les symptômes peuvent être divisés en deux catégories : les symptômes directement liés à l’inflammation intestinale et d’autres extra-digestifs assez courants dans les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.
Les symptômes directement relatifs à l’inflammation intestinale sont : saignement rectal, diarrhée persistante, nausée et vomissements, crampes et douleurs abdominales
Les symptômes d’extra-digestifs relatifs à une maladie inflammatoire de l’intestin sont : perte de poids, perte d’appétit, fièvre, douleur articulaire, inflammation oculaire, fatigue, anémie.
Il n’y a pas de moyen facile de diagnostiquer immédiatement la maladie de Crohn. L’établissement d’un tel diagnostic requiert de supprimer les autres origines pouvant éclairer les symptômes observés. On parle de diagnostic différence.
La maladie de Crohn se manifeste généralement par une diarrhée aiguë. Seul un examen supplémentaire des selles peut confirmer qu’il s’agit de la maladie de Crohn. En plus de l’examen clinique classique (régime alimentation, environnement et antécédents familiaux) du patient, une analyse plus approfondie doit être réalisée. En particulier, les tests sanguins permettent de détecter l’anémie et de mesurer d’éventuelles réponses inflammatoires (gros globules blancs, protéine C réactive, etc.).
Une inspection visuelle approfondie (endoscopie) du tube digestif sera aussi indispensable pour diagnostiquer la maladie. Il en existe 2 types : l’endoscopie ou la coloscopie des voies plus élevée du tube digestif. La coloscopie est la méthode la plus couramment utilisée. Elle peut aider à identifier les saignements, l’inflammation ou les ulcères dans la paroi du côlon. En outre de cette inspection visuelle, une biopsie peut également être envisagée pour confirmer le diagnostic.